Voila les chants que j'ai apprit à l'armée
clilqué sur le nom en rouge pour ecouté la musique
Adieu du bataillon de chocC'est en Corse, en octobre 1943, que ce chant a été écrit, sur une musique de Madame Altieri.
La route vers l'inconnu est toujours bien venue,
Le but est devant nous, braquant les armes.
La défaillance exclue, plus rien ne compte plus,
Pour nous c'est le devoir, pour vous les larmes
L'heure a sonné, adieu belle fille,
Nous repartons vers notre destin.
Loin du pays, loin de la famille,
Nous nous en allons par les chemins.
Le coeur léger avec un sourire,
Les yeux fixés sur l'horizon.
Les compagnies en marche s'entre-admirent,
Chantons en choeur à pleins poumons :
"En pointe toujours !", ce cri nous appelle,
Nous sommes ici taillés d'un bloc.
Tous en avant, adieu ô ma belle,
Adieu du bataillon de choc.
Debout les volontaires, chasseurs et légionnaires,
Les parachutes sont prêts pour l'aventure.
Le Dakota attend, ne perdons pas de temps,
Restons unis et la victoire est sûre.
La madelonCe chant a été créé par Monsieur Bach en avril 1914 (vraisemblablement le 23-04).
Il était interprété à l'origine par les tourlourous (comiques troupiers très répandus
durant la Première Guerre Mondiale). Bach est aussi le créateur (en 1913) d'un
personnage célèbre, le fameux Bidasse...
Pour le repos, le plaisir du militaire,
Il est là-bas à deux pas de la forêt,
Une maison, aux murs tout couverts de lierre,
« Aux tourlourous », c'est le nom du cabaret.
La servante est jeune et jolie,
Légère comme un papillon.
Comme son vin, son oeil pétille,
Nous l'appelons la Madelon.
Nous en rêvons la nuit, nous y pensons le jour,
Ce n'est que Madelon, mais pour nous c'est l'amour.
Quand Madelon vient nous servir à boire,
Sous la tonnelle, on frôle son jupon.
Et chacun lui raconte une histoire,
Une histoire à sa façon.
La Madelon pour nous n'est pas sévère
Quand on lui prend la taille ou le menton,
Elle rit c'est tout l 'mal qu 'elle sait faire.
Madelon, Madelon, Madelon !
Nous avons tous au pays une payse
Qui nous attend et que l'on épousera.
Mais elle est loin, bien trop loin pour qu'on lui dise,
Ce qu'on fera quand la classe rentrera.
En comptant les jours, on soupire,
Et quand le temps nous semble long,
Tout ce qu'on ne peut pas lui dire,
On va le dire à Madelon.
On l'embrass' dans les coins.
Elle dit: « Veux-tu finir... »
On s'figure que c'est l'autre, çà nous fait bien plaisir.
Un caporal au képi de fantaisie
S'en fut trouver Madelon un bon matin.
Et fou d'amour, lui dit qu'elle était jolie,
Et qu'il venait pour lui demander sa main.
La Madelon, pas bête en somme,
Lui répondit en souriant :
« Pourquoi épouserais-je un seul homme
Quand j'aime tout un régiment ? »
Tes amis vont venir, tu n'auras pas ma main,
J'en ai bien trop besoin pour leur servir du vin.
Petite pisteCombien d'fois l'a-t-on parcourue, cette petite piste.
'Traversant la lande herbue, lorsque le jour se lève.
En écoutant le rythme, de la chanson intime
Oh ! oh ! oh ! porteurs
Et ascaris aïdo, aïdo aïe safari
Oh porteurs, et ascaris aïdo, aïdo aïe safari.
Et lorsqu'un jour nous partirons, pour le dernier voyage.
Chantez-nous cette chanson, comme un dernier hommage.
Et s'il ne pleure personne, que Dieu nous le pardonne.
Debout les parasDebout, les paras, il est temps d' s'en aller,
Sur la route au pas cadencé.
Debout les paras, il est temps de sauter,
Sur notre Patrie bien aimée.
Dans les prés, dans les champs,
Les pépins dans le vent,
La mitraille accompagnera nos chants.
Parachutiste, voit le ciel est clair
Serre les dents, il est temps de sauter.
Le stick est prêt, le stick est prêt,
Tout le monde ira, tout le monde ira.
Pas un ne se, pas un ne se, dégonflera.
Parachutiste, voit le ciel est clair,
Serre les dents, il est temps de sauter.
Pour venir avec nous, pas besoin d'être gros,
Il suffit d'avoir du culot.
Pour venir avec nous, pas besoin d'être grand,
Il suffit d'avoir un peu de cran.
C'est trop dur vous direz,
C'est trop fort vous penserez,
Allons donc un peu de bonne volonté.
Allons, les copains, avec tout le barda,
Dans l'avion qui mène au combat.
Surtout les copains, n'oubliez pas le pépin,
Car la haut y a pas de magasin.
Mais ne vous en faites pas,
Même s'il ne s'ouvre pas,
On se retrouvera quand même tous en bas.
Loin de chez nousCe chant funèbre a été créé en Algérie et est devenu un classique du répertoire du soldat.
Loin de chez nous, en Afrique, combattait le bataillon,
Pour refaire, à la Patrie, sa splendeur, sa gloire et son renom. (bis)
La bataille faisait rage, lorsque l'un de nous tomba.
Et mon meilleur camarade, gisait là blessé auprès de moi (bis)
Et ses lèvres murmurèrent, si tu retournes au pays,
A la maison de ma mère, parle-lui, dis-lui à mots très doux (bis)
Dis-lui qu'un soir, en Afrique, je suis parti pour toujours.
Dis-lui qu'elle me pardonne, car nous nous retrouverons un jour. (bis)
Promotion St-CyrPas de texte
Voila les chants que j'ai apprit, sauf la dernière mais je l'ai mis quand même je l'aime bien, après j'ai pas trouver celle que j'avait apprit
voila voila
Bon patriotisme (mdr)